Hei olen Sven

Informations de base
Nom : Jansson
Prénom : Sven
Age : 16 ans
Date de Naissance : Août 2052 (date précise oubliée durant la guerre)
Nationalité : Anglais
Origines : Finlandais et Suédois
Groupe : Neutre

Précisions
Caractère : Sven est un être amical de nature et peu s’avéré très aimable. Cependant, il est quelque peut solitaire et souvent laissé a lui-même, ce qui n’aide point à sa vie sociale qui n’est déjà pas développée. Pauvre et orphelin, il a développé une manie de recyclage et de réutilisation de tous les matériaux qui lui tombent sous la main, il répare et modifie les pièces de vêtement qu’il trouve et les porte. Cet adolescent est créatif et apprécie aider les gens, ce qui lui apporte quelque fois un petit montant d’argent qu’il conserve précieusement, c’est pour cette raison qu’il se montre généralement sociale dès les premières rencontres, espérant ainsi se faire engagé pour quelconque travail temporaire. Il ne ce montre cependant pas confiant envers ceux qui l’approchent trop rapidement ou encore qui se montrent agressifs ou intimidants. Sven croît, au fond de lui, que la guerre a bel et bien eut lieue mais, malgré se sentiment, il n’en parle pas pour diverses raisons telles que le fait de passer pour un fou aux yeux des autres ou encore d’attirer l’attention de personnes qui seraient, selon lui, dérangées mentalement. Aller de l’avant n’est pas parmi ses points forts, il préfère laisser les autres venir lui parler ou encore attendre une chance « en or » pour offrir ses services de bricoleurs, il erre d’ailleurs dans les rues de Leixford, lieu où il connaît beaucoup de raccourcis et de cachette, l’aidant ainsi à fuir dans le cas où il serait poursuivit, simple précaution. Lorsqu’il n’a point de travail planifié, il rêve, éveillé, de visiter la célèbre horloge « Big Ben » ou encore de visiter Stockholm, en Suède, et Rauma, en Finlande, les villes natales de ses parents. Un autre passe temps, qui peut être chez lui une certaine obsession, est de lire encore et encore les contes que sa mère lui a autrefois raconté sur la guerre, toujours un peu fantastiques, et qu’il a retranscrit dans un petit carnet autrefois vierge qu’il porte toujours sur lui. Cette manie lui est venue d’un sentiment de refus d’oublier les évènements car, vivre dans une population qui ignore tout de cet ancien conflit est favorable a l’oubli de celui-ci et il croit fortement que, en oubliant cet évènement, c’est une partie de son enfance qui s’envole, en emportant les seuls souvenirs de ses parents.

Physique : Jeune adolescent de 16 ans et d’environ cinq pieds et quatre pouces, toujours vêtu des vêtements artistique qu’il fabrique de ses propres mains, il les porte généralement de couleurs froides et pâles, qui s’agencent avec ses yeux bleutés qui peuvent paraître violacés selon l’éclairage, ou encore foncés, qui contrastent avec ses cheveux blonds délavés. Il a l’habitude de porter un foulard ou un bandana à son cou et ce, même si la température est élevée, ce qui le distingue de plusieurs habitants de Leixford. Physiquement il a parfois une allure qui le fait paraître plus jeune que son âge normal, qui peut être un point positif lorsqu’il se cherche du travail car les gens ont souvent plus de pitié face aux jeunes. Sven est de carrure plutôt dans la normale si l’on se fit aux vêtements mais sous ceux-ci, il a un petit corps assez maigrelet cependant, malgré cela, il a développé, au fils du temps passé dans la rue à traîner son gros sac a dos , ses tissus musculaires et bien qu’ils ne paraissent pas beaucoup, cela l’aide lorsqu’il doit effectuer des travaux physiques, transport de lourds paquets par exemple. Agile et léger, il peut grimper et se faufiler dans plusieurs coins et passages étroits où quelqu’un qui a une carrure supérieure à la sienne ne peut passer.

Your story
- lapsuuteni -
Je n’ai jamais eu le temps de bien connaître mes parents, mon père tout particulièrement. Tout ce dont je me rappelle est que ma mère était originaire de Finlande et mon père, de Suède. Ma mère, Helena était son nom, travaillait en tant que médecin, elle était motivée à aider les soldats, comme Måns, mon père. Elle s’occupait des soldats comme de ses propres enfants et elle m’emmenait à l’hôpital et me parlait de la guerre, à quel point elle avait hâte qu’elle se termine et qu’elle trouvait cela inutile. Grâce à ma douce mère, je ne me suis pas fait embobiner au sujet de la guerre comme tous ces pauvres gens mais à force de vivre avec des habitants qui ont tout oublié, cela ne m’importe que peu aujourd’hui. Étant né au début de la guerre, j’ai été témoin des dernières années de celle-ci, après tout, j’avais huit ans lorsque cet enfer c’est terminé, cet enfer qui m’a arracher à mes parents, qui a d’abord englouti mon père lorsque je n’étais que bambin, puis ma mère lorsque j’avais sept ans. Après la mort d’Helena, je n’avais plus personne car, selon les gens qui m’ont recueillit, mes parents auraient déménagé en Angleterre environ un an avant que le conflit éclate, ma famille de Finlande et de Suède m’étant complètement inconnue et inaccessible lors de cette boucherie, j’ai été laissé à moi-même avec comme seules informations mon nom, Sven Jansson, et les prénoms de mes parents, Måns et Helena. J’ignorais, et j’ignore toujours, si mon nom de famille me venait de mon père ou de ma mère.

-Ja se jatkuu…-
Ma vie n’a pas été facile, non seulement les gens qui m’avaient recueillit ne m’appréciait pas car je ne parlais pas très bien anglais et que, selon eux, je « martyrisais leur langue » mais ils ne s’occupaient pas réellement de moi. Ils me donnaient la nourriture qu’ils n’avaient pas réussi à bien cuisiner, des toasts calcinés par exemple. Petit, la guerre faisait partie de l’histoire, de mon histoire, mais eux, qui oubliaient graduellement, n’arrêtaient pas de me gronder chaque fois que j’en parlais, au début car c’était, selon eux, un moment de deuil à respecter puis après, parce que ce n’était que sottise. N’étant pas bien inclus dans cette famille, j’ai fugué avec mon sac a dos énorme et mes quelques piètres souvenirs qui formait mon seul « patrimoine ». J’ai alors erré dans les rues de Leixford, à l’âge de 12 ans. Avec l’argent que j’avais économisé lorsque j’étais hébergé j’ai pu m’acheter quelques outils, livre et bouquins, je savais que ma vie n’allait pas être facile mais je m’étais promis, la journée de ma fugue, que je n’allais pas survivre. J’allais vivre.

-Ja tänään-
Aujourd’hui, je parle quatre langues soit le français, l’anglais, le finnois et le suédois. Je bricole, modifie, répare et aide les gens en échange de petits montants, j’investis en banque et grâce a mes économies, je peux me payer une chambre d’hôtel de temps en temps, m’acheter de nouveaux outils, bouquins et vêtements ainsi que de bons petit repas nutritifs. Je ne parle pas de la guerre qui n’a soit disant pas existé, je ne veux pas m’attirer d’ennuis avec les différents groupes, mais, à ceux qui désirent m’écouter, j’ai un certain vécu de cette boucherie. Je passe maintenant mes soirée, lorsque je n’ai pas de boulot, à lire et relire les contes sur cette guerre que j’ai réécris selon mes souvenirs et qui me rappelle tant ma mère, qui me manque tant.



And more
Où avez-vous eu le lien du forum? Un ami m’a parlé de ce forum, j’apprécie aussi les histoires reliées à la guerre.
Qu'en pensez-vous de manière globale? Bon design, bonne histoire, j’aime beaucoup ^^, j’espère seulement que le forum ne mourra pas car l’histoire me plait beaucoup.