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 Alexander Lewis

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Alexander Lewis

Alexander Lewis Atwscopie
Alexander Lewis


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Date d'inscription : 19/06/2008

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MessageSujet: Alexander Lewis   Alexander Lewis EmptySam 20 Juin - 23:21

Alexander Lewis Img-1206426fm2f
† Bitter truth is better than sweet lies. †
Don't say if I were you
Or tell me what to do
How things would be
If you were in my shoes
'Cause you're not me!


✄ I. Informations de base
    Nom : Lewis
    Prénoms : Alexander Willis
    Age : 19 ans
    Date de Naissance : 17 août
    Groupe sanguin : B+
    Nationalité : Anglais
    Origines : Anglaises
    Groupe : Anti-Truth War Squad


✄ II. Précisions
    Caractère :
    Alex' estime qu'il peut faire ce qu'il veut, dès qu'il le désire. La vie est courte et on peut la perdre bien trop facilement. Alors, il a décidé de vivre la sienne comme il le souhaitait. On naît, on va à l'école, on bosse pour être le meilleur, on trouve un job qui nous plaît que rarement et quand on est enfin libre de tout ça, on crève. Il trouve ça dénué d'intérêt. C'est ce qui explique sa vie de débauche, sa quête des plaisirs de l'existence et son manque d'attention envers ce qui l'entoure. C'est un être égocentrique, qui pense d'abord à ses intérêts avant ceux des autres. Cependant, à ses yeux, les gens font toujours ça. Lui a juste le culot de l'assumer, voilà tout. Jamais Alexander ne se soucie du sort des autres et s'il jamais il les aide, c'est seulement pour son intérêt personnel. Le monde extérieur à sa petite bulle ne lui importe guère. Le seul moment où il fréquente véritablement des gens, c'est lorsqu'il leur fait exploser la cervelle ou bien qu'il couche ou boit avec eux.Il n'a jamais eu de relation sérieuse. Que se soit en amitié ou en amour. Ca ne l'intéresse pas le moins du monde. On ne possède qu'une seule existence, autant la vivre pour nous-même. Il ne s'imagine pas pouvoir partager quoi que se soit, ni son paquet de clopes ni son cœur.

    Selon lui, il n'y a pas de honte à avoir de bosser pour quelqu'un, d'obéir à des ordres et d'agir comme une marionnette, si l'on se rend compte de cette réalité. La plupart du temps, il décide lui-même de ses missions, de ce qu'il souhaite faire. Même si, à la fin, il sert forcément les intérêts de son gouvernement avant tout. Alex' tue pour l'argent, pour vivre une vie libre. Il n'a aucune peur, aucun doute lorsqu'il appuie sur la détente de son revolver. Le jeune homme n'est pas un sadique, ni même un dingue. Il ne ressent quasiment rien quand il tue. Juste la pensée qu'il va être payé pour ce qu'il est en train de faire. Ce n'est pas le genre d'individu à avoir des regrets ou à se réveiller chaque nuit en hurlant à cause d'affreux cauchemars. Il est trop détaché pour ça. Souvent, après avoir achevé une mission, il va boire un coup dans un bar. Et, une fois qu'il est ivre, le souvenir n'est plus qu'une illusion floue dans son esprit embrumé. Cependant, cet état 'éloigné de la réalité' qu'il maintient presque en permanence est parfois dur à stabiliser, même pour lui. Mais il fait de son mieux pour y rester, il n'a pas envie de devenir dérangé à cause de tout ce qu'il a accompli.

    Malgré son jeune âge, il souffre d'un début d'alcoolisme, dû aux nombreux verres qu'il ingurgite depuis le début de son adolescence. Pourtant, ça ne semble pas véritablement lui peser sur la conscience. Pas plus que son addiction pour le tabac en tout cas. Par contre, Alexander n'est pas un adepte de la drogue, bien qu'il en ait déjà consommé. Planer est assez 'intéressant' mais la chute qui suit la plupart du temps à tendance à l'ennuyer. De toute façon, il est parfaitement conscient que, vu son travail et son état de santé, il va mourir jeune. C'est sans doute pour ça qu'il ne ralentit jamais son rythme de vie. Qu'importe s'il termine avec un cancer des poumons ou du foie.

    Le jeune homme n'apprécie que peu la compagnie des autres, principalement des enfants. Ces derniers sont le témoignage d'une innocence que les adultes ont perdu. Pas qu'Alex' regrette cette innocence, mais il a tendance à ne pas pouvoir supporter les jérémiades dénuées de sens des mômes. Nouer des liens lui fait horreur. Disons qu'il a presque peur qu'on tente de changer son existence, de l'empêcher de vivre uniquement pour sa propre personne. Cependant, ce n'est pas son genre de le dire à voix-haute. Même s'il exprime pas mal ce qu'il ressent, c'est souvent de manière ennuyée et brutale. Il déteste mentir pour endormir les gens et préfère leur balancer la vérité en pleine tête, sans se soucier des conséquences.

    Au niveau de ses occupations, il n'en a pas véritablement. Si ce n'est se livrer à sa vie de débauche habituelle. Et, lorsqu'il n'est pas dans un bar, ni un club ou bien en mission, il se repose ou bien il lit. Mais peu de gens savent qu'il est capable de citer Shakespeare. Ils le jugent beaucoup trop aux apparences. Ce qui ne dérange pas Alex, puisqu'il n'a rien à faire de l'opinion des autres à son égard. Il lui arrive également de participer à des courses de voitures de temps à autres, ou bien juste d'assister aux plus importantes. Il est évident qu'il ne va voir et ne participe qu'à des courses qualifiées 'd'interdites'. C'est son plaisir personnel. Par contre, il ne possède toujours pas de permis de conduire, n'ayant jamais vu l'utilité de le passer. Ce qui compte, ce n'est pas le bout de papier mais l'expérience, selon lui. En ce moment, il a également comme projet de commencer la moto, depuis qu'il a entendu dire que ça fait encore plus monter l'adrénaline que la voiture.


    Physique : Alexander est habitué à se fondre dans la masse, à disparaître, pour ressurgir au milieu d'une foule comme si de rien n'était, en attirant tout les regards. Et on se demande bien comment il s'y prend. Il a tout du 'n'importe qui', avec ses cheveux noirs en batailles, tellement communs, qu'il ne brosse pratiquement qu'avec ses doigts, pour aller plus vite. Le jeune homme n'a ni l'intention de les couper trop courts ni de les laisser pousser, il veut juste rester entre deux. De toute manière, son apparence, il vous dirait sans doute qu'il s'en fiche, comme du reste. Cependant, puisque c'est lui même, il y accorde, de manière paradoxale, beaucoup d'importance. Ses yeux sont grisâtres, enfin le gauche en tout cas. Le droit n'y voit quasiment plus rien, suite à un accident dans son enfance. Pourtant, au lieu de prendre ça comme un handicap, il fait avec. En théorie, il devrait porter des lunettes, même avec un seul verre correcteur mais il préfère garder son œil droit fermé presque en permanence. Bien que ça lui ait demandé de l'entraînement avant de pouvoir le faire durant de longues périodes. En dessous de son œil gauche, il a un tatouage, une sorte de grille de morpion dénuée de signes quelconques. Une de ses expériences, il a voulu voir ce que ça faisait que de se faire marquer la peau. Le reste de son visage est assez 'commun'. Il a des traits qui peuvent lui donner un air un brin androgyne mais sa voix, posé et assez basse a un timbre un peu grave qui est la preuve qu'il est bel et mien un individu de sexe masculin.

    Lorsqu'on le croise dénué d'un haut, ou alors qu'il en porte un qui laisse pratiquement tout voir de son torse, on se rend compte qu'il n'est pas spécialement musclé. Ce qui ne l'empêche pas de posséder tout de même une certaine force, dû à l'entrainement qu'il a subit pour améliorer ses capacités au travail. Après tout, on n'assassine pas des gens en étant une allumette ne pouvant même pas soulever une arme. Il mesure un mètre soixante-quatorze pour un poids relativement dans la moyenne. De toute façon, comme il aime à le dire 'L'alcool ça conserve.' Cependant, si l'extérieur de son corps est assez agréable à regarder, l'intérieur est un peu moins joli-joli. Ses poumons commencent à ressembler à des sacs de suie et bientôt, on finira par trouver de l'alcool dans son sang. Enfin, encore faudrait-il qu'il daigne accepter de faire la moindre prise de sang. Ce qu'il n'a pas fait depuis des années.

    Au niveau de sa manière de se vêtir, il faut savoir qu'Alex aime le noir et le blanc et qu'il se contente presque toujours de ça. Il porte des pantalons noirs, un brin moulants, qui lui tombent sur les hanches, en général. Sinon, il possède aussi des vêtements plus amples, mais qui sont réservés à chez lui, lorsqu'il est seul et en paix. Pour ses hauts, se sont souvent des chemises fines, blanches, avec différents motifs dessus. Il aime bien quand c'est 'vache', soit avec des tâches noirs. Et le jeune homme a tendance à ne jamais attacher tous les boutons de sa chemise, juste ceux du milieu. Comme ses chemises sont assez fines, il a quasiment en permanence une veste en cuir noire sur lui. Elle est un brin trop grande au niveau des manches mais tant qu'il peut tenir son revolver avec, il s'en fiche carrément. Pour aller avec cette veste, il tente de mettre des cravates noires, mais il n'arrive quasiment jamais à les garder toute la journée. Ça l'étrangle et c'est plus sexy quand ce n'est pas attaché, selon lui. A sa taille, il a souvent son revolver, rangé dans un étui spécial qu'il porte du côté droit, étant droitier.


✄ III. My story

    You think I've got it all
    You think I've got it made well


    *se sert un verre de Whisky* Allez savoir pourquoi, la plupart des gens pensent que j'ai une vie parfaite. Tout dépend de la vision de ce terme, sans doute. Ceux qui connaissent ma famille sont les plus insupportables. Ils disent -ou bien pensent- que j'ai toujours vécu comme un gamin pourri-gâté qui avait tout ce qu'il voulait. Le fils chéri des Lewis qui a toujours été tant aimé et apprécié. A croire que y'a que moi qui soit pas au courant. Vous voulez connaître mon histoire? Vous avez du temps à perdre selon moi. *boit quelques gorgées* Soit. En échange, vous payez la tournée de ce soir~ *air ennuyé* Après tout, je ne vais pas assécher ma gorge pour quelqu'un. Surtout pas pour vous.

    Je suis né dans une famille anglaise nommée les Lewis. Des gens de la 'haute' comme on dit, enfin le terme est un peu dépassé mais qu'importe. Le genre où il faut se tenir droit et pas foutre ses coudes sur la table. Maintenant vous voyez pourquoi je ne m'entend pas avec eux. Bref, j'ai grandi dans cette atmosphère un brin étouffante ou j'ai été élevé par une sorte de gouvernante, si si ça existe encore. Mes parents ne m'ont jamais pourri-gâté mais je mentirai en disant que je n'avais rien pour moi. J'avais une vie plutôt basique, simple, tranquille. Collé dans une école maternelle privée, forcé de représenter l'image de la famille, étant enfant unique y'avait que moi pour le faire. Et puis, il y a eu la guerre. J'avais trois ans, il me semble, un truc dans le genre. Au début, on en parlait pas, surtout pas aux gosses. Mais quand j'ai eu six ans, mon vieux a été mobilisé. Il y est jamais allé, il a envoyé un type qui bossait pour lui à sa place. Le père d'une fille de ma classe est parti se battre, pour ne jamais revenir. Contrairement à la plupart des gens, je suis au courant qu'il y a eu cette guerre... Enfin, de toute manière, il n'y a que les gosses de l'époque qui s'en souviennent, ou presque. Simplement, je m'en fiche carrément. Ce n'est pas mon problème si le monde ne s'en souvient pas. Et comme je suis payé pour lutter contre la Truth War Squad, j'irai contre eux jusqu'au bout.


    You know what I need
    And it's not another serenade
    I get so tired of all the things you say!

    Ils ont tous oublié. Les adultes. Pour eux, c'est devenu un souvenir embrumé. Moi pas. J'étais trop jeune pour le traitement. Un bien ou un mal, ça j'en sais rien. Tout a disparu, tout ce qui prouvait et démontrait l'horreur que le monde avait vécu. Les bombes qui étaient tombées sur Londres semblaient illusion, les morts n'étaient plus que des victimes d'accidents malencontreux. Je pense que je m'en suis soucié, au début. Et pas qu'un peu. On en parlait parfois avec les autres enfants, on interrogeait nos parents, enfin surtout ma gouvernante dans mon cas, nos professeurs, mais rien n'y faisait. Alors, au bout d'un moment, on s'est dit que c'était peut-être nous qui allions mal dans nos têtes. J'ai fini par considéré que ce n'était pas mon problème, j'ai balancé cette foutue guerre dans un coin de mon esprit et bon débarras.

    A l'adolescence, j'ai commencé à avoir quelques légers différents avec mon paternel, étonnant. Il voulait que je bosse pour lui, histoire de reprendre l'entreprise familiale plus tard. Non merci. Pas mon truc, vraiment. Et comme la baraque devenait invivable, parce qu'il me lâchait pas, ce vieux psychopathe, j'ai été forcé de sortir pour avoir la paix. L'extérieur. Un endroit que j'avais toujours ignoré, me disant que la maison Lewis était mieux. J'avais tort. On ne va pas parler en détail de ce que j'ai, et que je n'aurai sans doute jamais dû faire mais plutôt en revenir à mon père. Finalement, lorsqu'il a menacé de me couper les vivres, ou plutôt mon argent de poche de gamin de presque seize ans, j'ai flippé. Logique, tellement logique. Alors j'ai accepté de travailler pour lui. En tant que garde du corps. Bien sûr, cela m'a nécessité une formation, longue et particulièrement pénible, que je n'ai même pas encore terminé de nos jours, en théorie. C'est grâce/à cause de ça que je manie actuellement une arme. Un revolver pour être plus précis. Malheureusement, je ne peux pas vous dire le modèle parce que mon père m'en offre un nouveau presque chaque mois. Mais je crois que l'arme ce n'est que dix pourcents de ce job. Le plus important c'est de savoir rester l'esprit alerte pour éviter les incidents.

    Talk to my hand and roll the dice
    Everybody's got their price


    Un jour, j'ai zappé cette règle. C'est la raison qui fait que je garde mon œil droit fermé presque en permanence. Je ne sais pas qui a attaqué, ni pourquoi. Je crois que ça, c'est le genre de détail que les subordonnés ne savent jamais. Il fallait juste défendre la baraque. Londres était vraiment devenue... Une ville où vivre devenait de plus en plus dur dirons-nous. Il y en avait un qui avait un couteau. A l'époque des armes de pointes, lui avait un truc de cuisine des années 10 (2010). Quelqu'un a crié, une femme qui travaillait pour mon vieux, je sais plus trop et j'me suis tournée vers elle. Ne croyez jamais qu'une lame est inoffensive. Après je sais plus. Le rouge, puis le noir, avec des touches de blanc à l'hôpital. Mon existence était colorée. J'me suis réveillé quelques jours plus tard, avec un œil aveugle. Mon vieux m'a engueulé. Si si, je venais de manquer de crever et il a simplement crié. Comme quoi je servais plus à rien dans cet état et je ne sais plus trop quoi... J'ai rien répondu sur le coup, j'me sentais comme une loque, parce que y'avait pas eu qu'un seul coup de couteau sur mon pauvre corps, si vous voyez ce que je veux dire. Et, lorsqu'il s'est barré, je me suis rendormi.


Dernière édition par Alexander Lewis le Mar 23 Juin - 22:27, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Alexander Lewis   Alexander Lewis EmptyMar 23 Juin - 19:05

    Je pense qu'un psy' vous dirait que j'ai eu 'une bonne vieille remise en question' à ce moment là. Après tout, passer des heures à fixer un plafond, ça aide à réfléchir. J'en avais marre, d'obéir, de faire garde du corps pour mon vieux, de cet enfoiré que j'aimais pas, de toute mon existence. Passer près de la mort m'a fait pigé qu'on a qu'une vie et qu'on doit la vivre pour nous-même. C'est de cette manière que je me suis pointé chez moi, enfin chez mon père, quelques semaines plus tard, pour lui dire, simplement, que je démissionnais. Après ça, j'ai vécu quelques temps un peu n'importe où. Je me fichais des gens que je fréquentais, ce que je faisais. Une vie de débauche pour découvrir ce que c'était que de vivre véritablement. Je buvais et fumais déjà depuis quelques années -les jeunes et la débauche de nos jours- mais ça, c'est immuable chez moi. J'ai passé des mois à m'entrainer pour garder mon œil droit fermé tout en ayant le gauche d'ouvert, pour un résultat assez concluant. Pour gagner mon existence? J'avais toujours mon revolver, ne cherchez pas plus loin.

    I know you think you're being nice
    But spare me all your lame advice


    Un jour, il y a quelques mois, j'ai reçu un appel de la part de mon père. Finalement, il ne m'a pas encore renié en crachant sur ma future tombe. Etonnant. Il m'a dit qu'une femme, quelqu'un d'assez influent visiblement, cherchait quelqu'un pour un job. Un boulot de ma compétence qu'il a dit. Je vous laisse imaginer ce que c'était. J'suis allé au rendez-vous, j'avais rien d'autre à foutre, qu'il avait fixé pour moi avec elle. Une femme assez... Je ne saurai pas trop dire mais elle possède une sorte de charisme qui la rend intéressante. Ça m'a étonné qu'elle me rencontre. La plupart des gens envoient juste des hommes de mains en général. Pas cette fois visiblement. Elle n'a pas eu l'air de se soucier du fait qu'il me manquait quasi' un œil ou bien que mon état de santé était inquiétant. Par contre, elle m'a proposé une belle somme d'argent pour que je bosse pour elle. Alors j'ai accepté. La thune, c'est ce dont j'ai besoin pour vivre. Officiellement, je suis noté comme assassin de l'Anti Truth War Squad, mais officieusement j'ai un peu plus de choses à faire. Je fais en majorité du repérage, j'escorte aussi ma boss de temps en temps et récemment on m'a demandé de garder un œil sur ce sale mioche de prince pour qu'il ne lui arrive rien. Et après on s'étonne quand je descend cinq verres de vodka à la suite...

    The end. Sorta. I need a drink anyway. *sigh*
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